Six choses que j'aurais aimé apprendre à la faculté de médecine
Blog de 'Faith Today' 23 Mai, 2017 Par Dr. Laura Lewis J'aurais souhaité apprendre... Que la science ne peut que décrire la magnificence de la vie, pas l'expliquer. Bien que j'aie appris des choses sur les ovocytes, les spermatozoïdes, la division cellulaire et l'embryologie, je n'ai pas réussi à apprécier le plan complexe de la vie établi dans les premiers moments de la conception. Au nom du "choix", de nombreuses femmes n'ont aucun choix concernant leur grossesse non planifiée. Que de nombreux hommes et femmes vivent avec de grands regrets au sujet de leurs enfants perdus à cause de l'avortement. Malgré notre capacité à traiter un cœur malade, nous n'avons pas de remède pour un cœur brisé. That a microscope, while magnifying an image, can actually dull our focus. Un nombre de chromosomes ne peut pas mesurer la valeur. Les tests prénataux ne peuvent pas prédire l'amour ou l'impact et le but d'une vie. Quand il s'agit de grossesse non planifiée, on faillit souvent à nos patients. C'est le mot que je préfère : faillite. Nos patientes viennent nous voir pour obtenir des conseils, une éducation et une aide impartiale dans le chaos d'une grossesse non planifiée. Pourtant, dans notre société et dans les cercles médicaux, l'offre, l'accessibilité et la disponibilité de l'avortement sont davantage mises en avant que les alternatives de soutien telles que l'adoption et le soutien durant la grossesse. J'espère qu'il y aura un changement dans notre société et dans la profession médicale. Il est temps d'apporter une nouvelle réponse aux personnes confrontées à une grossesse non planifiée, une réponse où nous regardons au-delà du processus scientifique et où nous entrons dans une nouvelle conversation, une conversation où toute vie est valorisée et protégée. Dr Laura Lewis est médecin de famille et directrice générale de l'organisation Assistance Grossesse Canada (AGC). L'AGC se consacre au démarrage, à l'outillage et à l'encouragement des centres de grossesse locaux. Au cours de son travail en tant que médecin de première ligne, elle a constaté le besoin d'éducation, de soutien et d'options pratiques pour les femmes et les hommes confrontés à des grossesses imprévues. |