La courte vie de Sasha

septembre 2024

Dr. Laura Lewis

La courte vie de Sasha

Une vie qui s'est achevée trop tôt.

J'ai récemment pris connaissance de la mort tragique d'une jeune Canadienne de 19 ans à la suite d'un avortement médicalisé ("la pilule abortive"). Je ne connais pas son nom, mais je l'appellerai Sasha parce qu'elle mérite un nom.

Sasha n'est pas seulement la statistique d'une procédure médicale ratée. C'était une jeune femme à l'aube de sa vie, avec tant d'avenir devant elle. Pourtant, Sasha et son enfant à naître sont morts d'un choc septique provoqué par la pilule abortive Mifegymiso[1] . Les histoires comme celle de Sasha ne sont pas évoquées, alors qu'elles devraient l'être. Il y a tant de choses qui se passent et se passent encore.

Et si, en cherchant de l'aide sur Internet, Sasha avait trouvé des informations fiables ?
Et si elle avait reçu suffisamment d'informations significatives pour s'arrêter et réfléchir à sa grossesse inattendue et à ce qu'elle pourrait signifier pour son avenir ?
Et si elle avait tendu la main, parlé ou envoyé un SMS à quelqu'un qui comprenait sa panique et sa peur ?

Sasha pourrait être ici aujourd'hui, vivant la vie que l'on espère pour un jeune de 19 ans - peut-être en train d'aller à l'université, de voyager ou de passer l'automne avec ses amis et sa famille. Mais son histoire s'est terminée bien trop tôt.

Le discours erroné sur l'innocuité et la facilité de la pilule abortive continue d'induire en erreur un grand nombre de personnes en leur faisant croire qu'il s'agit d'une solution facile à mettre en œuvre en cas de grossesse non désirée, et que la vie continuera ensuite sans entrave. La liste des femmes canadiennes victimes de ce médicament donne à réfléchir et dérange.

Un autre rapport de cas concerne une jeune fille de 17 ans qui a subi les effets indésirables suivants de la pilule abortive : Avortement incomplet, Avortement infecté, Cardiomyopathie, Collapsus circulatoire, Septicémie à Escherichia, Thérapie d'assistance respiratoire, Choc septique, Dilatation utérine et curetage[2] . Heureusement, cette jeune femme a survécu. Cependant, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur le coût physique et émotionnel de ce traumatisme pour cette jeune fille de 17 ans.

Assistance Grossesse Canada et notre réseau de soutien, tant en ligne que dans les centres de soins de grossesse locaux, sont en mesure de veiller à ce qu'aucune femme n'ait le sentiment que l'avortement est son seul choix.

Avec votre aide, nous continuons à chercher des moyens d'étendre ce filet de sécurité vital par le biais de Google Ads, des médias sociaux, d'un soutien continu aux centres locaux et d'une nouvelle initiative qui sera lancée au printemps prochain pour aider l'Église à s'engager de manière plus importante.

Nous sommes une voix douce dans un espace souvent bruyant et controversé. Mais nous avons de l'espoir et nous voyons le changement. En continuant à ancrer notre travail et nos cœurs dans la compassion et la force du Christ, nous avons ce qu'il faut pour continuer à avancer pour le bien de jeunes femmes comme Sasha.

Cliquez ici pour consulter le rapport de Sasha et les instructions pour accéder aux informations de la base de données des effets indésirables de Santé Canada.

[1] https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/medeffect-canada/adverse-reaction-database.html(consulté en août 2024)

[2] Ibid.


Si vous avez besoin de parler à quelqu'un d'une grossesse inattendue et que vous souhaitez obtenir des informations précises sur les possibilités qui s'offrent à vous, consultez notre site web : https://pregnancycarecanada.ca/looking-for-help/. Vous pouvez trouver un site un centre d'aide à la grossesse près de chez vous ou entrer en contact avec quelqu'un en ligne qui peut vous aider. Nous sommes là pour vous. 

Une solution de compassion.

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